Les deux approches se valent. Le choix sera question de l'utilisation qu'on a de l'ULM.
S'il s'agit de voler une fois de temps en temps en local, et qu'on n'en fait pas une maladie de ne pas pouvoir trouver de machine lorsqu'il fait beau, alors la location est parfaite...
S'il s'agit de pouvoir voler quand on veut, aller où on veut, et pour la durée qu'on décide, en gros voyager, il n'y a pas d'autre solution que d'en acquérir un...
Au milieu, il reste la solution de la co-propriété.
Avant de pouvoir acquérir mon propre Coyote, j'ai été copropriétaire sur un Pioneer 200 et un FK14 Polaris.
Nous étions à chaque fois trois co-propriétaire. Mais dans le second cas, le troisième ne volait pratiquement plus sur ULM.
Même si elle n'apporte pas la liberté de sa propre machine, la copropriété reste une bonne solution, surtout financièrement.
Cependant, selon mon expérience, quelques doivent être respectées:

deux co-propriétaires maximum, ou dumoins deux qui pilotent...

tout doit être inscrit dans un contrat (celui de la FFPLUM constitue une bonne base)

l'appareil doit posséder une assurance omnium

les frais fixes sont à partager par le nombre de co-propriétaires

les frais variables doivent faire l'objet d'une cotisation spécifique à l'heure d'utilisation
Pourquoi seulement deux?
Car cela te réduit tous les coûts de 50%, et ne t'ajoute qu'une autre personne avec qui négocier le reste...
Un troisième ne te réduit le coût que de 16.5%, avec encore une autre personne avec qui négocier... Le rapport n'est déjà plus intéressant !