J'ai rencontré un pilote qui vole sur motoplaneur "Silent" en catégorie ULM avec moteur italien (j'ai oublié le nom) de quelques 50cv et à qui j'ai demandé quelle était à son avis la valeur de son petit moteur italien?
Réponse: Quand on fait de l'ULM il faut d'abord voler dans la perspective d'une panne toujours possible


Ma réponse a été: Certes pour la philosophie globale de la panne toujours possible (chez tout le monde d'ailleurs) mais dans mon cas mon Rotax 100cv à la réputation d'être extrêmement fiable en Europe et de part le monde et de surcroît est entretenu comme un certifié sur la base du Manuel d'entretien Rotax.On peut pas faire mieux non ?
Donc si tel est le cas de tous les moteurs d'ULM modernes d'aujourd'hui en terme d'entretien sans oublier l'usage des bons produits préconisés par le constructeur (huile, liquide de refroidissement, loockeed de frein, 98 faute de 91 à venir etc); en quoi nos moteurs seraient ils moins fiables que les vieux certifiés des "avioneux" qui pour la plupart ont entre 30 et 60 ans

Alors la panne principale pour nous c'est ou ? et à cause de quoi principalement ? et dans quelles fréquences susceptibles ? si tout est respecté par un bon suivi ?
Ne faut il pas en 2012 tordre le cou quelque peu à cette méchante comparaison avions-ULM alors que nous avons des moteurs à la pointe du progrès afin de voler sans ce stress qui me parait exagéré ? non ?
Nynjazen
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