NON ce n'est pas vrai et j'ai déjà (essayé) d'expliquer pourquoi.
Je peux me répéter si besoin (j'ai l'habitude dans mon boulot

) :
parce que une interdiction dans le droit n'est pas forcément explicite. Le droit n'est pas tenu de dire
"il est interdit de faire de la voltige avec un ULM" explicitement pour que cela soit, dans les faits, interdit
A partir du moment où il existe des textes (au sens large : lois, arrêtés etc...) qui NE PERMETTENT PAS cette activité pour d'autres motifs existants, le droit s'arrête là. Les textes ne se doublent jamais et ne se contredisent (normalement) jamais. A partir ou un interdit ou une "non possibilité de..." existe dans un texte, cela suffit !
En l'occurrence et par exemple (on pourrait revenir sur d'autres points également dans la même optique...mais un seul suffit)
La voltige est permise uniquement dans les conditions et les espaces dont j'ai déjà parlé (sur un axe de voltige, lorsque cet axe est activé, par des appareils déclarés dans la demande d'activation etc....)
L'ouverture d'un axe de voltige n'est possible qu'aux avions et aux planeurs (il n'existe pas de possibilité d'ouverture d'axe pour les autres appareils)
Un axe de voltige ne peut être emprunté QUE par les aéronefs déclarés et habilités dans la demande d'activation
Un axe de voltige ne peut être emprunté que par un pilote disposant de la qualification voltige.
Donc:
Un ULM et/ou un ulmiste ne peut emprunter un axe de voltige
Donc:
La voltige n'est pas accessible, en France et dans les espaces EASA, et donc interdite (ou pas permise, si tu préfère) aux ULM !
A partir de là, on pourrait ressortir les textes d'application (ceux qui répriment, pour faire simple) et savoir ce que risque un pilote qui intégrerait un axe si toutes ces conditions ne sont pas réunies ou qui pratiquerait la voltige hors d'un axe ou hors d'un axe activé !