Le combat du regretté Dominique Méreuse, était justement celui de préserver l'oasis d'ULM française... La régulation française de l'ULM fut la plus libérale du monde, et c'est cette liberté qu'il voulait défendre.irondaile a écrit :(...) C'est peut être le passage au 500 kg qui a foutu la pagaille.
Hélas, c'était un pot de terre contre un pot de ferre des constructeurs des "ULM" qui voulaient fabriquer les même avions pour le LSA américain et pour l'ULM européen, et qui l'ont obtenu.
Je ne voudrais pas être une Cassandre, mais mon petit doigt me dit, que ce n'est pas fini. Les bureaucraties ont leurs intérêts propres, et leurs habitudes qu'elles tentent toujours à défendre.
Pour devancer des objections, je rajouterais encore que l'ULM n'aurait jamais existé (car il n'aurait pas besoin d'exister) sans une croissance des normes et des règles bureaucratiques qui rendent petit à petit une aviation de loisir "normale" difficilement praticable. Aujourd'hui, les frères Wright ou Voisin, les Delemontez, Joly et Robin, n'aurait aucune chance d'imaginer, de concevoir, et de tenter... ils seraient noyés sous les tonnes de papiers...