On est bien d'accord.daffy a écrit : Bonjour à tous,
Là je crois qu'il y a surtout un manque de maitrise du pilote car effectivement il y a perte de tour, on l'entend très bien mais elle est peut être du à une mauvaise gestion par le pilote ou une panne mais en stationnaire comme dans le cas présent c'était parfaitement gérable.
Pour être un peu plus général sur le sujet de la classe 6,pour moi ce qui me gène, c'est le problème de la panne moteur à maitriser sur un appareil à faible inertie .En monomoteur la réaction du pilote doit être immédiate et pour une réussite d'autorot il faut des conditions de hauteur minimale et un sol permettant une glissade de qq dizaine de mètre.
Sur un ULM 3 ou 2 axes il est convenu au départ que l'appareil de par sa faible masse et sa faible vitesse, la panne moteur devrait pouvoir être réalisé sans trop de bobo. Des pannes moteurs sont encore fréquentes et je n'imagine pas la classe 6 avec le même risque
Pour finir je pense qu'il ne faut pas de lien avec les modèles réduits notamment dans l'exemple vidéo ou l'on voit le rotor perdre énormément de tour et peut se poser en autorot !!!!imaginable sur un vrai.
Bons vols à tous
Les problèmes sont bien là : grande complexité + apprentissage prêt du sol + masse réduite qui ne favorise pas la gestion de la panne.
Pour ce qui est de la vidéo de Youngblood elle n'est que purement illustrative.
En effet les hélicos radios commandés, comme l'illustre cette vidéo, ont des performances nettement supérieure à leur équivalent à l'échelle 1. Ils sont par contre régis par les mêmes lois aérodynamtiques.
Pour ce qui est du quasi blade stop suivi par l'autorotation, un hélico de 3D à une incidence des pâles qui va de +13° à -13°... ceci explique cela. Aucun hélico à l'échelle 1 n'a à ma connaissance la possibilité d'avoir autant de pas négatif.
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