Tu parles de fragilité de conception. Or dans ce cas précis, c'est la réalisation qui était en défauts et pas la conception. De plus, tu n'as aucune raison objective pour dire qu'une collision avec un oiseau aurait fait le meme résultat.swiftlightpas a écrit :je n'ai pas parlé de collision avec un oiseau pour cet évènement précis mais pour les 2 précédents dont au moins un n'a pas été signalé DGAC (...........), mais dans ce cas précis de fragilité de conception du bord d'attaque, le résultat aurait été strictement identique...Girino a écrit : Elle est ou ta collision en vol avec un oiseau tueur d'ULM ?
Et les collisions avec oiseau ne sont pas rares, ---- du blabla ...
Cause identifiée : défaut de collage en assemblage.
http://www.bea.aero/docspa/2001/89-r010 ... 010422.pdf
Il faudra trouver un argumentaire plus sérieux pour démontrer que la légèreté des ULM est obtenue par les moyens que tu décrits :
swiftlightpas a écrit :c'est la grande fragilité des surfaces de l'ulm: en général le gain de poids se fait notamment en supprimant une (voir plus!) couches de tissu, l'on se retrouve alors parfois avec des machines d'une évidente fragilité au niveau du fuselage, à la peau, travaillante, incroyablement fine et souple au pouce...ce qui provoque des fissures au moindre impact ou surcharge...un ulm ainsi construit est susceptible de se faire "descendre" par une simple collision avec un gros oiseau...