Construction planeur ULM électrique
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- Messages : 24
- Inscription : 13 nov. 2016, 22:21
Re: Construction planeur ULM électrique
Réalisation magnifique, impressionnante.
L'hélice a t-elle été fabriquée ? Diamètre ? le moteur utilisé est-il le RET60 ?
Cordialement. Robert
L'hélice a t-elle été fabriquée ? Diamètre ? le moteur utilisé est-il le RET60 ?
Cordialement. Robert
- Andre67
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- Inscription : 06 avr. 2013, 16:52
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Re: Construction planeur ULM électrique
Bonjour Robert,
C'est bien un moteur RET60 qui est monté dans le nez, voir une des photos précédentes (1744071).
on y vois bien la référence.Ce moteur est prévu pour faire tourner une hélice à 4500 trs
Hélice (dia 100cm) adaptée pour son fuselage et moyeu neufs livrés par FES cette semaine.
André
C'est bien un moteur RET60 qui est monté dans le nez, voir une des photos précédentes (1744071).
on y vois bien la référence.Ce moteur est prévu pour faire tourner une hélice à 4500 trs
Hélice (dia 100cm) adaptée pour son fuselage et moyeu neufs livrés par FES cette semaine.
André
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- Yankeeromeo
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- Inscription : 05 nov. 2010, 19:44
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Re: Construction planeur ULM électrique
Il n'y a pas que le talent...bebe44 a écrit :Exian, tu as un incroyable talent
André, tu peux être fier de ton fils.
Il y a aussi le travail et la ténacité !
Yurek
http://www.yankee-romeo.com
If God meant man to fly, He'd have given him... more money.
Honi soit qui mal y pense !
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- Inscription : 13 nov. 2016, 22:21
Re: Construction planeur ULM électrique
Merci pour les infos. J'attends avec impatience les essais. Je ne sais pas pourquoi avec le moteur que j'ai, le contrôleur coupe à 18kw 55kg 3600 tours.
En tout cas pour un constructeur amateur !!! chapeau
En tout cas pour un constructeur amateur !!! chapeau
- Yankeeromeo
- Messages : 3683
- Inscription : 05 nov. 2010, 19:44
- Localisation : France - Poitou - Vendée - LFFK
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Re: Construction planeur ULM électrique
C'est bien ça, le hic : Arnaud est un constructeur-amateur, mais ses réalisations sont d'une qualité professionnelle...
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- Exian
- Messages : 65
- Inscription : 11 sept. 2016, 15:39
- Localisation : Gironde
Re: Construction planeur ULM électrique
Pour ne pas trop s’éparpiller, je prend ici ce que j'ai écris dans le sujet "Poids à vide ULM éléctrique?"
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Il me manque encore les ailes pour conclure formellement à l'atteinte ou non de l'objectif de conception.
Mais le fuselage est assez avancé, et la prévision de masse de l'aile plus fiable (moins de petits bidules, plus de grandes stratifications sous vide mieux maîtrisées) pour conclure que ce sera plutot 40kg de batteries que les 50kg espérées...
Masse à vide réglementaire 345 - 86 = 259 kg
Le fuselage avec tout est prévu à 127 kg (pesé à 110kg incluant le moteur et le controleur, les morceaux manquant sont des équipements à boulonner dont les masses sont exactement connues). La coque nue/vide était bien à la bonne masse au départ (50 kg), mais à la fin sorti 10 kg plus lourd que prévu du fait de tous les petits truc parci parla qu'on on imaginait même pas, renfort locaux, ferrure, accessoires, cables... Mais l'ensemble est costaud et très rigide.
Les ailes sont prévues pour 90 kg (+/-5%)
Reste 42kg pour les batteries...
Le centrage sera quasiment bon sans lest avec un pilote équipé de 60 kg (moi). Centrage avant avec un pilote de 86 kg...
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Il me manque encore les ailes pour conclure formellement à l'atteinte ou non de l'objectif de conception.
Mais le fuselage est assez avancé, et la prévision de masse de l'aile plus fiable (moins de petits bidules, plus de grandes stratifications sous vide mieux maîtrisées) pour conclure que ce sera plutot 40kg de batteries que les 50kg espérées...
Masse à vide réglementaire 345 - 86 = 259 kg
Le fuselage avec tout est prévu à 127 kg (pesé à 110kg incluant le moteur et le controleur, les morceaux manquant sont des équipements à boulonner dont les masses sont exactement connues). La coque nue/vide était bien à la bonne masse au départ (50 kg), mais à la fin sorti 10 kg plus lourd que prévu du fait de tous les petits truc parci parla qu'on on imaginait même pas, renfort locaux, ferrure, accessoires, cables... Mais l'ensemble est costaud et très rigide.
Les ailes sont prévues pour 90 kg (+/-5%)
Reste 42kg pour les batteries...
Le centrage sera quasiment bon sans lest avec un pilote équipé de 60 kg (moi). Centrage avant avec un pilote de 86 kg...
Projet terminé : Conception et construction de l'EXIA - ULM monoplace en composites
Projet en cours : Conception et construction du KYRIOS - Planeur monoplace en composite - propulsion électrique - ULM
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- Exian
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- Inscription : 11 sept. 2016, 15:39
- Localisation : Gironde
Re: Construction planeur ULM électrique
Pour répondre à Serge5694 :
Effectivement, un pilote léger pourrait emporter plus de batteries à condition de l'avoir prévu au niveau installation et que ce soit bien du complément par rapport à la batterie "déclarée" avec laquelle la machine est testée et conforme à la réglementation avec le pilote de 86kg (doit pouvoir décoller, avec le taux de monté mini, l'autonomie mini, etc...).
C'était une possibilité que j'avais étudié, l'idée étant d'avoir alors 3 pack de 28S li-ion de 20 kg chacun branchés en parallèle. Deux dans les ailes (batteries déclarées) et une dans le fuselage, au-dessus du longeron.
Cette solution a été abandonnée car il y a quelques problèmes techniques et de sécurité :
- Niveau "électrique", on m'a indiqué qu'il valait mieux rassembler d'abord tous les éléments en parallèle, et ensuite mettre ces paquets en série.
Qu'en pensent les électriciens du forum?
Le planeur devant fonctionner avec seulement les packs dans les ailes, ça fait donc deux batteries de 14S à mettre en série. On peut toujours en brancher une troisième de 28S en parallèle sur le tout, mais elle sera de capacité plus faible...
- Niveau installation, le fuselage a été optimisé au niveau maitre couple et surface mouillée pour tirer le maximum de performances aérodynamiques.
Ce n'est pas aussi radical que le Diana2, mais il me reste peu de place pour mettre cette troisième batterie au dessus du longeron. Elle serait plutot dans la gamme des 10kg maxi pour passer, ce qui n'apporte pas un gain d'autonomie révolutionnaire. Le but est avant tout de faire du vol à voile, pas de l'endurance au moteur, donc pas plus d’intérêt que ça à mettre cette batterie en plus si ce qu'il y a dans les ailes permet déjà de remplir la mission.
Il y a peut-être ceux qui diront qu'il faut de toute façon lester au max pour avancer le mieux en plané, mais ça fait cher le lest supplémentaire...
- Niveau sécurité, bon, avoir 10 à 20 kg de matière bien dense juste derrière la tête impose de vraiment bien fixer cette masse... Et en cas de feu sur la batterie (toujours à prendre en compte), compliqué de faire un compartiment complètement étanche et qui résisterait à la pression (sur les quelques feux de batteries de FES, la trappe d'accès a été "soufflée"...). Cockpit envahi de fumées toxiques en quelques seconde et fortes chaleurs... Dans les ailes, au moins les batteries sont vraiment séparées du pilote, et on a le temps de tirer le parachute et se laisser descendre.
Donc comme l’essence, pas de ça dans le fuselage. La batterie 12V lifepo4 des instruments est tolérée, et elle est loin derrière dans le tube de queue (centrage).
Effectivement, un pilote léger pourrait emporter plus de batteries à condition de l'avoir prévu au niveau installation et que ce soit bien du complément par rapport à la batterie "déclarée" avec laquelle la machine est testée et conforme à la réglementation avec le pilote de 86kg (doit pouvoir décoller, avec le taux de monté mini, l'autonomie mini, etc...).
C'était une possibilité que j'avais étudié, l'idée étant d'avoir alors 3 pack de 28S li-ion de 20 kg chacun branchés en parallèle. Deux dans les ailes (batteries déclarées) et une dans le fuselage, au-dessus du longeron.
Cette solution a été abandonnée car il y a quelques problèmes techniques et de sécurité :
- Niveau "électrique", on m'a indiqué qu'il valait mieux rassembler d'abord tous les éléments en parallèle, et ensuite mettre ces paquets en série.
Qu'en pensent les électriciens du forum?
Le planeur devant fonctionner avec seulement les packs dans les ailes, ça fait donc deux batteries de 14S à mettre en série. On peut toujours en brancher une troisième de 28S en parallèle sur le tout, mais elle sera de capacité plus faible...
- Niveau installation, le fuselage a été optimisé au niveau maitre couple et surface mouillée pour tirer le maximum de performances aérodynamiques.
Ce n'est pas aussi radical que le Diana2, mais il me reste peu de place pour mettre cette troisième batterie au dessus du longeron. Elle serait plutot dans la gamme des 10kg maxi pour passer, ce qui n'apporte pas un gain d'autonomie révolutionnaire. Le but est avant tout de faire du vol à voile, pas de l'endurance au moteur, donc pas plus d’intérêt que ça à mettre cette batterie en plus si ce qu'il y a dans les ailes permet déjà de remplir la mission.
Il y a peut-être ceux qui diront qu'il faut de toute façon lester au max pour avancer le mieux en plané, mais ça fait cher le lest supplémentaire...
- Niveau sécurité, bon, avoir 10 à 20 kg de matière bien dense juste derrière la tête impose de vraiment bien fixer cette masse... Et en cas de feu sur la batterie (toujours à prendre en compte), compliqué de faire un compartiment complètement étanche et qui résisterait à la pression (sur les quelques feux de batteries de FES, la trappe d'accès a été "soufflée"...). Cockpit envahi de fumées toxiques en quelques seconde et fortes chaleurs... Dans les ailes, au moins les batteries sont vraiment séparées du pilote, et on a le temps de tirer le parachute et se laisser descendre.
Donc comme l’essence, pas de ça dans le fuselage. La batterie 12V lifepo4 des instruments est tolérée, et elle est loin derrière dans le tube de queue (centrage).
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- Exian
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- Inscription : 11 sept. 2016, 15:39
- Localisation : Gironde
Re: Construction planeur ULM électrique
Petites remarques sur les batteries :
Comme indiqué précédemment, la masse "emportable" de batterie commence à converger vers quelque-chose proche de 42kg.
Elle sera composée de cellules VTC6 18650 de 46,5g pièce, 3000mAh.
Suite à remarque de quelqu'un sur le facteur d'intégration des éléments dans le pack (rapport masse d'éléments sur masse du pack) qui tourne généralement entre 50 et 75%, j'ai fais un vrai calcul pour estimer ce qui devrait être rajouté au poids de chaque élément une fois intégré dans le pack.
Le mode d'intégration en pack est celui pratiqué par MGM Compro, plus un étui en composite fait maison.
Bilan : on a beau faire ce qu'on veut en optimisation, j'arrive à une masse "intégrée" par éléments de 62,5gr, soit un rendement de 75%. Impossible de faire mieux avec ces éléments. On gagnerait un peu avec des éléments plus grands (21700), mais alors la section des packs ne rentre plus dans mes ailes.
Donc sur les 42kg de batterie, seuls 31,5kg sont réellement des éléments, ce qui m'amène à 28S24P et 7,5kWh de capacité. Moins qu'espéré, mais tout de même suffisant.
La densité d’énergie du pack est de 179 Wh/kg, ce qui est dans les normes.
Il me semble que ce point est souvent oublié par les concepteurs. En modélisme par exemple avec de "petits" packs, la gaine thermo et les quelques centimètres de câbles sont effectivement négligeables. Les éléments font eux-même la structure mécanique du pack et les éléments sont directement reliés entre eux.
Mais plus le pack est gros, plus ces ajouts sont importants, et on arrive déjà à 10kg dans mon cas!
Je pense que c'est la raison pour laquelle beaucoup de projets d'avion électriques annoncent de perfo farfelues et jamais tenues, si l'avion est un jour construit...
Comme indiqué précédemment, la masse "emportable" de batterie commence à converger vers quelque-chose proche de 42kg.
Elle sera composée de cellules VTC6 18650 de 46,5g pièce, 3000mAh.
Suite à remarque de quelqu'un sur le facteur d'intégration des éléments dans le pack (rapport masse d'éléments sur masse du pack) qui tourne généralement entre 50 et 75%, j'ai fais un vrai calcul pour estimer ce qui devrait être rajouté au poids de chaque élément une fois intégré dans le pack.
Le mode d'intégration en pack est celui pratiqué par MGM Compro, plus un étui en composite fait maison.
Bilan : on a beau faire ce qu'on veut en optimisation, j'arrive à une masse "intégrée" par éléments de 62,5gr, soit un rendement de 75%. Impossible de faire mieux avec ces éléments. On gagnerait un peu avec des éléments plus grands (21700), mais alors la section des packs ne rentre plus dans mes ailes.
Donc sur les 42kg de batterie, seuls 31,5kg sont réellement des éléments, ce qui m'amène à 28S24P et 7,5kWh de capacité. Moins qu'espéré, mais tout de même suffisant.
La densité d’énergie du pack est de 179 Wh/kg, ce qui est dans les normes.
Il me semble que ce point est souvent oublié par les concepteurs. En modélisme par exemple avec de "petits" packs, la gaine thermo et les quelques centimètres de câbles sont effectivement négligeables. Les éléments font eux-même la structure mécanique du pack et les éléments sont directement reliés entre eux.
Mais plus le pack est gros, plus ces ajouts sont importants, et on arrive déjà à 10kg dans mon cas!
Je pense que c'est la raison pour laquelle beaucoup de projets d'avion électriques annoncent de perfo farfelues et jamais tenues, si l'avion est un jour construit...
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- serge5694
- Messages : 3270
- Inscription : 25 juin 2010, 22:54
- Localisation : France - Rhône-Alpes - Drôme - Pierrelatte
Re: Construction planeur ULM électrique
Effectivement pas aussi simple que de l'essence, il faudrait un second ensemble de batterie plus petit (2 petits pack dans ton cas, qu'on pourrait ajouter dans les ailes, avec éventuellement un commutateur pour passer d'une série de pack à l'autre. Ca reste bien compliqué et semble t-il pas nécessaire dans ton cas. Bonne continuation.
Dragonfly amateur moteur Yamaha yg3.
Réplique Morane H moteur en étoile 5cyl .
Pierrelatte Drôme provençale.
Réplique Morane H moteur en étoile 5cyl .
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- sonex710
- Messages : 877
- Inscription : 08 août 2011, 11:17
Re: Construction planeur ULM électrique
Hello Exian,
Pour la constitution d'un pack, le mieux est de connecter les lignes (28 S par exemple) en série avec des connexions de puissance, puis de connecter 4 lignes en // (4 P) avec des connexions de puissance, puis de câbler 3 x 27 petits fils d'équilibrage.
Pour la connexion de plusieurs packs ensemble, (sauf autorisation expresse du fabricant) on ne les connecte pas en série : le composant qui coupe le courant en fin de charge ou en fin de décharge verrait alors le tension totale de tous les packs, et il faut être certain que ce soit prévu !
Pas de soucis pour en // ...
Bravo pour ce travail et merci de partager !
A+!
- Andre67
- Messages : 297
- Inscription : 06 avr. 2013, 16:52
- Localisation : France Alsace Haguenau LFSH
Re: Construction planeur ULM électrique
Bonjour,
Ci joint dernières photos:
Après moulage du flasque, nez "cône d'hélice ajusté en place
André
Ci joint dernières photos:
Après moulage du flasque, nez "cône d'hélice ajusté en place
André
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- Messages : 3960
- Inscription : 25 janv. 2011, 22:32
Re: Construction planeur ULM électrique
Que c'est beau, net et sans bavure
- Luc84
- Messages : 453
- Inscription : 26 janv. 2018, 07:53
- Localisation : MAZAN 84380
Re: Construction planeur ULM électrique
C'est bien beau à ce niveau là c'est de l'art. C'est peut être expliqué avant mais comment l'hélice s'arrête toujours au même endroit ?
Bonne journée et un bravo admiratif.
Luc
Bonne journée et un bravo admiratif.
Luc
- jean66
- Messages : 1195
- Inscription : 24 avr. 2012, 00:28
- Localisation : Perpignan LFMP
Re: Construction planeur ULM électrique
WAOUUUUUUUU juste TOP !! hâte de voir la suite, possible que je connaisse (on s enflamme pas) des ailes de sinus, tu crois que l on peut les greffer sur ton fuselage ? et les modifier aux emplacement des réservoir, ça peut faire un chouette joujou
SINUS 912, Perpignan LFMP
Fâché avec l orthographe !
Fâché avec l orthographe !
- Andre67
- Messages : 297
- Inscription : 06 avr. 2013, 16:52
- Localisation : France Alsace Haguenau LFSH
Re: Construction planeur ULM électrique
Bonjour Luc,
L'hélice s'arrêtant au mm près toujours au même endroit est réalisé par un capteur dans le moteur nommé " absolut position Stop"
et une entrée spéciale sur le contrôleur
Cela est une option chez MGM Compro.
C'est la position du capteur qui définie l'endroit de l'arrêt. De ce fait il faut positionner le moteur sur le bâti à la position d'arrêt hélice recherchée.
André
L'hélice s'arrêtant au mm près toujours au même endroit est réalisé par un capteur dans le moteur nommé " absolut position Stop"
et une entrée spéciale sur le contrôleur
Cela est une option chez MGM Compro.
C'est la position du capteur qui définie l'endroit de l'arrêt. De ce fait il faut positionner le moteur sur le bâti à la position d'arrêt hélice recherchée.
André