jplandez a écrit :Daniel C a écrit :
Le slow flight en fait partie et avec certains avions, comme on vole au dessus de l'incidence de décrochage, le fonctionnement des ailerons est inversé.
Ah... voler au dessous de l'incidence de décrochage, ca m'épate, faut que l'avion le supporte, et il doit être "pendu" au moteur. Ca doit être le 3ème régime..
On voit bien le ciel. La sirène de décrochage est en route, cela fait une musique d'ambiance

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Le facteur de charge étant inférieur à 1 l'avion le supporte fort bien. Avec un peu de pratique on arrive a voler à la puissance maximale sans monter, pratiquement le manche au ventre et avec un peu de vent de face on fait presque du vol stationnaire.
Pour la vidéo, voici la la bonne.
Toan a été mon instructeur voltige, patient et pédagogue. On s'est bien amusé.
https://www.youtube.com/watch?v=ACbiEzypceg
Pour voler à 60°, il faut deux choses: tirer sur le manche et mettre de la puissance, ce que ne fait pas l'élève. Si on applique ces deux mesures d'abord le nez haut pour augmenter l'incidence ensuite de la puissance pour ne pas descendre, c'est assez facile avec un peu d'entrainement.
Effectivement le DR400 est très incliné mais le décrochage n'est pas bien violent.
Décrochage dynamiques:
sous facteur de charge (virage) vers 16 minutes, l'avion tend à se remettre à plat.
en dynamique par action sur la profondeur vers 18 minutes et à suive, avec un coup de tatane en prime
ACbiEzypceg
Modo UFO : incrustation vidéo