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Bonjour à tous !

Voilà un petit sondage histoire de voir à combien d'heure je dois m'attendre pour obtenir le brevet.

Précisez-votre age et vos antécédents aéronautiques

Bon vols

4 heures pour brevet / radio et emport passager.
28 ans au moment du brevet , et pilote planeur depuis 14 ans.

De mémoire, de l'ordre de 2 à 3 heures, emport passager compris, avec "mises en gardes" effectuées.

Mais plus de 560 heures de vol avion, dans les trente années précédentes, dont voltige (qualif 1er cycle), vol de nuit (qualif en cours...), pas variable et train rentrant (qualifs), multimoteurs (3 qualifs de types)...

C'est vrai que ça aide !

Ton sondage ne te donnera pas de bons résultats car il va inclure des pilotes ULM déjà brevetés avion ou planeur et qui ont fait pour certains juste un vol pour obtenir le précieux papier vert...

laurentbot a écrit :Ton sondage ne te donnera pas de bons résultats car il va inclure des pilotes ULM déjà brevetés avion ou planeur et qui ont fait pour certains juste un vol pour obtenir le précieux papier vert...

En effet , seuls doivent se signaler ceux qui sont partis de 0 sinon ça ne veut rien dire...Les brevetés avion qui font le brevet ULM , d'après ce que j'ai constaté ça va de 1h à une douzaine d'heures (hé oui), et ceux qui partent de 0 je n'en ai connu aucun sous 20 heures dans les différent clubs que j'ai fréquentés...Ceux qui l'ont eu en moins doivent être soit surdoués, soit être tombés sur un instructeur particulièrement laxiste (ou qui voulait s'en débarrasser vite fait...)
Pour ma part 35h pour obtenir le papier vert, mais sur presque 2ans car premier club fermé suite à invasion de nomades, second interruption de 6 mois pour travaux sur la piste, 5 instructeurs et 3 machines différents, pas vraiment des conditions idéales...

1000trad

J'ai moi aussi eu ma licence par équivalence, donc il faudrait retenir les heures d apprentissage au pilotage
De base d un avion ( brevet de base)
Sans aucune experience , un minimum de 20 ou 30 h me semblerait sécurisant .

Simon

Au début de l'ulm on se lachait solo tout seul puisque il n'y avait pas de biplace et on volait sans brevet.Notre meilleur élève a été laché en 12 h il a été ensuite insrtructeur Marchetti,Alouette 2,Agusta et enfin cdt c130.
La bonne moyenne est de 25 h pour le laché solo et 40 h pour le brevet.
L'age joue pour beaucoup.

Moi, je vous dis, attendez que Louulm passe vous dire son score avant d'être laché

Hello ...

Alors sujet difficile si il en est, étant donné qu'il n'y à pas que la progression de l'élève qui est prit en compte, il y à aussi l'exigence de l'école formatrice qui diffère énormément ...

Étant un pur produit de la classe 3 sans aucune expérience de vol, ça peut donner une idée au personnes qui s'interroge sur le sujet ...

Lâché solo à 14,5 h et 47 atterrissages .
Licence solo 20 h et 63 atterrissages .
Emport passager 36 h et 92 atterrissages

Le tout en 14 mois ( ça aussi c'est important )

Une autre école que je côtoie de tant à autre, on une vision autre de la formation, et ne différencie pas vraiment de la formation PPL ( radio en anglais, nav de ouf ... check list longue comme le bras ) et plein de truc, comme la façon d'atterrir à l'hélice avec contrôle au PaPI , au final , des pilotes super intégrer dans une tranche d'aviation haut de gamme, et outré lorsque tu te tapes une approche en glissade un crans de volet moteur plein ralenti et rempli d'oreilles bouchées
Ps : cette école est pleine de pilotes qui on entre 40 et 60h et qui ont "que " la licence solo ... et pas un jeune

Bien à vous !

Je répondrais au sondage dès que j'aurais mon papier, mais pour le moment c'est 5h en double et une bonne vingtaine d'attéro mais une demi poignée presque seul, et 2 PTU.... Donc, je repasse dans les prochaines 5heures pour faire le point.

Zéro heure. Merci à la réglementation de l'équivalence TT.
Sans que je demande rien, on m'a tamponné, tant qu'on y était, la case pendulaire. Je suis qualifié emport de passager en pendulaire, dont je n'ai fait qu'en sac de sable ne touchant à rien.
C'est toute la somme de ces petits particularismes étranges qui fait le charme de la vie.

Idem pour moi :

----------- a écrit :Zéro heure. Merci à la réglementation de l'équivalence TT.
Sans que je demande rien, on m'a tamponné, tant qu'on y était, la case pendulaire. Je suis qualifié emport de passager en pendulaire, dont je n'ai fait qu'en sac de sable ne touchant à rien.
C'est toute la somme de ces petits particularismes étranges qui fait le charme de la vie.

Jarnicoton a écrit :Zéro heure. Merci à la réglementation de l'équivalence TT.
Sans que je demande rien, on m'a tamponné, tant qu'on y était, la case pendulaire. Je suis qualifié emport de passager en pendulaire, dont je n'ai fait qu'en sac de sable ne touchant à rien.
C'est toute la somme de ces petits particularismes étranges qui fait le charme de la vie.

C'est bien pour ça que cette pratique a été supprimée car il y a eu énormément d'accidents dû à l'incompétence de certains pilotes avion sur ulm , de surcroît pendulaire...

J'ai bien déjà lu que l'équivalence avion/ULM avait causé de terribles accidents (je parle du trois-axes ; le coup de tampon pendulaire, c'était le gag administratif dans toute sa beauté), mais comme c'était sous la plume d'un tenancier d'école ULM, qui plus est légèrement de style poujadiste sur les bords, je suis resté réservé faute d'en savoir plus.
Qu'y a-t-il à dire de factuel et de précis sur cette question ? En effet j'ai appris à piloter sur planeur puis avion, fait pas mal d'avion puis posé ma personne dans un avion suffisamment peu chargé au mètre carré pour s'appeler ULM. Sachant piloter un avion, j'ai su piloter celui-là, qu'on appelait ULM.

Jarnicoton a écrit : Sachant piloter un avion, j'ai su piloter celui-là, qu'on appelait ULM.

Le pilotage d'un avion est assez différent de celui d'un ulm pour plusieures raisons, la principale est une charge alaire beaucoup plus élevée et une masse très supérieure, ainsi que des caractéristiques de vol "formatées" et des motorisations certifiés "à priori fiables"...
Ceci implique qu'un pilote d'avion habitué à des machines "placides" genre Cessna, va ch.... dans son froc dès lors qu'il ne volera pas en ULM par "temps de curé" ...j'ai eu l'occasion de constater parmi certains pilotes avion un gros manque de réactivité en particulier dans l'usage du palonnier et surtout la gestion de la vitesse, une confiance aveugle dans leur moteur (=absence totale d'évitement de zones au posé en campagne impossible, vol bas sans réserver de marge d'altitude de sécurité,etc...), une très forte tendance à voler en surcharge (oubli de la limite de masse au décollage), des visites prévol ou après vol bâclées (y a pas d'mécano qui veille au grain sur ULM), et j'en oublie...

Je me garde de généraliser car un pilote planeur aura déjà un comportement "plus ULM" niveau sécurité et un pilote de train classique saura généralement se servir de ses pieds, mais reste l'absence d'inertie d'un ulm qui reste le point le plus critique car on peut très vite se mettre en perte de vitesse en ulm, ce qui ne pardonne pas à basse hauteur...Le seul que j'ai vu immédiatement à l'aise la première fois qu'il a piloté un ulm, était un ancien pilote d'essais, qui a eu son carton vert en 1 heure : l'instructeur a dit qu'il n'avait rien à lui apprendre , mais c'est loin d'être le cas "mr tout le monde"