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Bonjour à tous
j'ai commandé un transpondeur mode S, est-il nécessaire, obligatoire de le programmer dans un atelier radio agréé pour l'intégration du code délivré par la DGAC ou puis -je l'utiliser en l'état, mais sauf erreur ne sera utilisable qu'en mode C,
auquel-cas serais-je en infraction vis-à-vis de la réglementation ?
merci d'une réponse
guy.loizeaux@neuf.fr

Vu que tu dois faire valider l'installation par un atelier agréé, autant programmer le code d'identification de celui-ci.

fanguyli a écrit :Bonjour à tous
j'ai commandé un transpondeur mode S, est-il nécessaire, obligatoire de le programmer dans un atelier radio agréé pour l'intégration du code délivré par la DGAC ou puis -je l'utiliser en l'état, mais sauf erreur ne sera utilisable qu'en mode C,
auquel-cas serais-je en infraction vis-à-vis de la réglementation ?
merci d'une réponse
guy.loizeaux@neuf.fr

Si tu l'utilise en l'état, tu sera en infraction car ton installation radio + transpondeur n'aura pas été controlée.
A partir du moment ou un code S a été délivré, il est obligatoire de l'introduire dans le transpondeur et cette introduction doit être réalisée par du personel "certifié".
Pour info; à partir du moment ou un code valide est introduit dans le transpondeur celui-ci fonctionne uniquement en mode S. Même si l'utilisateur le place en mode "standby" l'appareil répondra à une demande en mode S.

Avec le S, c'est fini la petite promenade incognito ...

Avec le S, c'est fini la petite promenade incognito ...

Je me permets de rappeler que tout appareil muni d'un transpondeur ( S ou pas) doit obligatoirement le maintenir en fonctionnement dès avant décollage jusqu'àprès l'aterrissage.

Donc si l'on est amateur d'icognito (c'est le droit de chacun, même si l'on peut se poser la question de l'intérêt réel de la chose), il vaut mieux s'abstenir de voler dans un appareil muni d'un transpondeur (même éteint).
De plus, en cas de collision ou de non-respect d'un espace aérien, le fait de ne pas avoir mis en marche le transpondeur est considéré comme une circonstance aggravante à charge du pilote.

Bons vols

Luciano

Tout ce ci nous ramène au sujet Immatriculation - Identification - Indicatif radio

Le problème qui y était relevé était qu'un organisme certifié encoderait sans doute la marque d'identification de l'appareil (99ZZZ) alors que les plan de vols et dialogues avec les contrôleurs aériens s'effectuent sur base de l'immatriculation radio (F-Jxxx), entraînant des quid pro quo malvenus en matière de sécurité.
Or, outre l'argument sécuritaire qui prévaut sur tout (à mon sens), et comme en général on a plus à faire aux contrôleurs qu'aux administrations en vol, la réponse s'impose d'elle-même...

Luciano a écrit :

Avec le S, c'est fini la petite promenade incognito ...

Je me permets de rappeler que tout appareil muni d'un transpondeur ( S ou pas) doit obligatoirement le maintenir en fonctionnement dès avant décollage jusqu'àprès l'atterrissage.
Luciano

Par contre les planeurs ont le droit de l'éteindre en espace non contrôlé pour économiser les batteries, donc ouvrez grands les yeux quand même

PapaMike a écrit :Tout ce ci nous ramène au sujet Immatriculation - Identification - Indicatif radio

Le problème qui y était relevé était qu'un organisme certifié encoderait sans doute la marque d'identification de l'appareil (99ZZZ) alors que les plan de vols et dialogues avec les contrôleurs aériens s'effectuent sur base de l'immatriculation radio (F-Jxxx), entraînant des quid pro quo malvenus en matière de sécurité.
Or, outre l'argument sécuritaire qui prévaut sur tout (à mon sens), et comme en général on a plus à faire aux contrôleurs qu'aux administrations en vol, la réponse s'impose d'elle-même...

D'ailleurs le contrôleur verra un F-XXXX sur son écran et pas l'immat ULM

La question posée ici était de savoir s'il faut ou non obbligatoirement recourir à un organisme agréé afin de faire programmer l'indicatif repris en mode S ou si l'on a la liberté d'effectuer cette opération soi-même.

La réponse est claire: le code doit être programmé par un organisme agrée.

Bons vols

Luciano

Je suis désolé mais c'est toi qui a lancé le hors sujet en premier
Sans rancune

Luciano a écrit :La réponse est claire: le code doit être programmé par un organisme agrée.

Dans ce cas la question subsidiaire est la suivante:
Un atelier agréé sera-t-il d'accord de mettre l'immatriculation radio à la place de l'identification de l'appareil dans le transpondeur ?

Non seulement il sera d'accord mais il ne mettra rien d'autre, une fois l'attestation remplie, le transpondeur est associé à la licence de station d'aéronef (LSA) sur laquelle apparait ton F-XXXX et pas l'identification de l'ULM

Bonjour,
La question est de savoir si le constructeur du Transpondeur qui est certifié par l'EASA et donc délivre une EASA Form One lors de l'achat d'un matériel est aussi compétent qu'un atelier Part 145 pour savoir si ledit transpondeur répond ou non aux spécifications requises ?
On peut légitimement se poser la question vu que c'est lui qui fabrique le produit et a l'autorisation de le valider par l'EASA.
Lorsque l’on fait l’acquisition d’un Transpondeur neuf, on a la EASA Forme One et il suffit d'introduire les data fournies par la DGAC, c'est-à-dire l’adresse hexadécimale, le type d’aéronef et l’indicatif d’appel, c'est un un jeu d’enfant.
Pour les ULM, les procédures du document OSAC P-41-15 ne sont pas applicables, dont acte, donc en gros ce que l’on comprend c’est que la vérification du transpondeur imposée pour les ULM n'est pas celle suivie pour les avions, et elle ne semble concerner, en réalité, que la capsule Baro statique électronique 1013.25 pour la bonne corrélation des niveaux de vol !
L’installation elle, coaxial et antenne n’étant pas non plus certifiée elle n’est pas spécifiquement sujette au contrôle classique comme sur les avions.
Avec un transpondeur neuf et une EASA Form One on part pour 6 ans et la question est de savoir si le renouvellement de la LSA uniquement pour le transpondeur pour les ULM, ne pourrait pas se faire par le constructeur dudit transpondeur ?