Non-certification, et peur au ventre de la panne

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Nynjazen
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Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par Nynjazen »

Bonjour,
J'ai rencontré un pilote qui vole sur motoplaneur "Silent" en catégorie ULM avec moteur italien (j'ai oublié le nom) de quelques 50cv et à qui j'ai demandé quelle était à son avis la valeur de son petit moteur italien?
Réponse: Quand on fait de l'ULM il faut d'abord voler dans la perspective d'une panne toujours possible :evil: en sorte que je préfère voler ici à 300 km de Toulouse et trop de contraintes et surtout pas assez de champs sûrs comme ici pour me vacher à tout moment dans le confort; surtout à bord d'une machine à moteur italien :roll:
Ma réponse a été: Certes pour la philosophie globale de la panne toujours possible (chez tout le monde d'ailleurs) mais dans mon cas mon Rotax 100cv à la réputation d'être extrêmement fiable en Europe et de part le monde et de surcroît est entretenu comme un certifié sur la base du Manuel d'entretien Rotax.On peut pas faire mieux non ?
Donc si tel est le cas de tous les moteurs d'ULM modernes d'aujourd'hui en terme d'entretien sans oublier l'usage des bons produits préconisés par le constructeur (huile, liquide de refroidissement, loockeed de frein, 98 faute de 91 à venir etc); en quoi nos moteurs seraient ils moins fiables que les vieux certifiés des "avioneux" qui pour la plupart ont entre 30 et 60 ans ;) et dont je constate qu'ils sont bien plus souvent que dans mon cas en train de courir sans cesse derrière des pièces de plus en plus introuvables de Lycoming et autres Limbach...
Alors la panne principale pour nous c'est ou ? et à cause de quoi principalement ? et dans quelles fréquences susceptibles ? si tout est respecté par un bon suivi ?
Ne faut il pas en 2012 tordre le cou quelque peu à cette méchante comparaison avions-ULM alors que nous avons des moteurs à la pointe du progrès afin de voler sans ce stress qui me parait exagéré ? non ?
Nynjazen

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Luciano
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Re: Non certification et peur au ventre de la panne

Message par Luciano »

Bonsoir Nynjazen,

j'ai un peu plus de 1000 heures de vol en 6 ans sur les ulm que j'ai possédé et qui étaient équipés de Rotax 582, Jabiru 80cv et Rotax 912S.

A en entendre certains, j'aurais déja avoir eu à expérimenter des tonnes de pannes , notemment avec les deux premiers cités.

Nada, schnoll, broquette, rien !

Ce qui est vrai, c'est que je ne dépasse que très rarement le régime à 75% de puissance (sauf brièvement au décollage) et que je respecte scrupuleusement les consignes de maintenance préventives éditées par le constructeur de divers moteurs.

Bons vols,
Luciano
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TaupeGueune
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par TaupeGueune »

On peut juger un moteur sur 1000 heures d'utilisation perso ?
On peut juger 3 moteurs sur 1000h ? (disons pour arrondir : 330 h par moteur).
Sur le 2e, certains pourraient s'exprimer mieux que moi.
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dekof01
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Re: Non certification et peur au ventre de la panne

Message par dekof01 »

Luciano a écrit :Bonsoir Nynjazen,

j'ai un peu plus de 1000 heures de vol en 6 ans sur les ulm que j'ai possédé et qui étaient équipés de Rotax 582, Jabiru 80cv et Rotax 912S.

A en entendre certains, j'aurais déja avoir eu à expérimenter des tonnes de pannes , notemment avec les deux premiers cités.

Nada, schnoll, broquette, rien !

Ce qui est vrai, c'est que je ne dépasse que très rarement le régime à 75% de puissance (sauf brièvement au décollage) et que je respecte scrupuleusement les consignes de maintenance préventives éditées par le constructeur de divers moteurs.

Bons vols,
Luciano
+1

bonsoir à tous,

En ce qui me concerne, je pense que comme toute machine, un moteur peut tomber en panne, mais en 38 ans de pilotage, je peux affirmer que les pilotes qui entretiennent leur machine selon les prescriptions du constructeur et l'utilisent en bon père de famille ne connaissent que très peu de problèmes moteur.

Bien à vous

Dekof

PS: 35 ° ce soir chez moi, si quelqu'un peut m'envoyer fissa un bidon d'air frais, je l'achète à n'importe quel prix
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Luciano
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par Luciano »

TaupeGueune a écrit :On peut juger un moteur sur 1000 heures d'utilisation perso ?
On peut juger 3 moteurs sur 1000h ? (disons pour arrondir : 330 h par moteur).
Sur le 2e, certains pourraient s'exprimer mieux que moi.
La plupart des 2T ont une durée de vie avant remise en état globale de l'ordre de 300h. Le 582 de notre Albatros (co-propriété) en était, au moment de sa revente, à 200h après une 1ère révision totale. Il n'a jamais connu de panne, si ce n'est des démarrages difficiles avant changement de batterie. :(

Les Jabiru ayant éclaté leurs soupapes avaient en général moins de 200 heures; celui de mon Storch en comptait 450 lorsque je l'ai revendu, et son nouveau propriétaire vole dessus après plus de 3 ans, sans avoir eu à faire autre chose que changer huile, bougies et filtre à huile ainsi que réglage de soupapes aux périodes prescrites.

Pour ce qui concerne mon 912s, il a tourné déjà plus de 500h à ce jour, sans la moindre panne, à l'exception d'un vapor lock au sol par une jounée torride et parce que j'avais oublié d' ouvrir le clapet supérieur du capot de mon appareil afin de permettre une meilleure aération du compartiment moteur aprés vol.

Par contre, j'ai connu 2 arrêts moteur (1 en vol et 1 au décollage) sur mon Storch, suite à mauvaises manipulation des robinets d'essence!
Mais ça ce n'est pas une panne moteur, mais bien le résultat d'un facteur humain; la certification des moteurs n'y aurait pas changé grand chose, à mon avis.
La solution relève ici de l'utilisation systématique de checklist et surtout d'un entraînement régulier aux situations inhabituelles. :D

Bons vols,
Luciano
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Yankeeromeo
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par Yankeeromeo »

Nynjazen a écrit :Bonjour,
J'ai rencontré un pilote qui vole sur motoplaneur "Silent" en catégorie ULM avec moteur italien (j'ai oublié le nom) de quelques 50 cv et à qui j'ai demandé quelle était à son avis la valeur de son petit moteur italien?
Réponse: Quand on fait de l'ULM il faut d'abord voler dans la perspective d'une panne toujours possible (...)
Nynjazen
Erreur, Nynjazen : le moteur Alisport A302efi, équipant les Silent ne fait pas "quelques 50 ch", mais exactement 28 ch...
C'est un monocylindre 2 temps, refroidi par air, à injection et allumage électronique.
Par conséquent, le comparer avec de moteurs 3 ou 4 fois plus gros, n'a que peu de sens. Les moteurs comparables sont par exemple le Solo, le Bright & Stratton, ou les tous petits Hirth, autrement dit les moteurs de tondeuses... Dans cette compagnie ce moteur s'en sort plutôt bien. Les pannes électroniques sont rares, les pannes mécaniques concernent surtout le relâchement de visseries et casse de certaines pièces par fatigue, les deux dues aux vibrations (alors qu'il vibre moins que ses concurrents directs). On peut donc les éliminer en vérifiant son moteur scrupuleusement avant le décollage.
De toute manière, il ne s'agit pas d'un engin devant voler au moteur, il ne sert en principe qu'au décollage. Après, c'est le vol à voile. :)
Dernière modification par Yankeeromeo le 20 août 2012, 12:13, modifié 1 fois.
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Archambold
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par Archambold »

17 pannes moteur la première année,heureusement je venais du Vol Libre ou on était en panne permanente.
Les moteurs Solo étaient bien ,par contre les Hirth et Jpx : terribles,les Fuji Robin : pas mal,les 277 vibraient beaucoup,447 et 503 :bien,les 582 :une catastrophe ,le meilleur est le 912 bien sur :6 pannes quand meme mais toujours les périphériques,j'ai meme pu rentrer au terrain (30 km) avec un piston cassé par un petit axe ingéré par le carbu ( réchauffe carbu Polaris ).
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par administrateur »

Archambold a écrit :17 pannes moteur la première année,heureusement je venais du Vol Libre ou on était en panne permanente.
Les moteurs Solo étaient bien ,par contre les Hirth et Jpx : terribles,les Fuji Robin : pas mal,les 277 vibraient beaucoup,447 et 503 :bien,les 582 :une catastrophe ,le meilleur est le 912 bien sur :6 pannes quand meme mais toujours les périphériques,j'ai meme pu rentrer au terrain (30 km) avec un piston cassé par un petit axe ingéré par le carbu ( réchauffe carbu Polaris ).
:lol: Il vaut mieux en rire !
17 pannes moteur, c'est un chiffre énorme tout de même, sans compter que passé la 1e année il y en a peut-être eu d'autres. Tu comptes peut-être avec, les pannes au sol ?
Il y a une rubrique pour ce sujet ici : Sécurité - Pilotage - Mécanique du vol - Formation - Expériences ..., en haut de cette page, il y a une autre rubrique encore plus spécialisée : Les pannes que nous avons vécues.
Si tu y écris tes aventures, ce sera une première mise en forme et un entrainement pour un bouquin que tu pourrais publier. Succès garanti chez les ULMistes !!!
Archambold
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par Archambold »

17 la première année mais pas plus de 10 pour les 32 années suivantes,pannes en vol bien sur,le Vol Libre est heureusement une bonne école.

:lol: Admin : 27 pour 33 années, c'est un bon chiffre : moins de 1 par an !!!
Biiiieeeennn ... tu commences ton récit par le plus récent ou par le plus ancien ?
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Nynjazen
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Re: Non certification et peur au ventre de la panne

Message par Nynjazen »

Luciano a écrit :Bonsoir Nynjazen,

j'ai un peu plus de 1000 heures de vol en 6 ans sur les ulm que j'ai possédé et qui étaient équipés de Rotax 582, Jabiru 80cv et Rotax 912S.

A en entendre certains, j'aurais déja avoir eu à expérimenter des tonnes de pannes , notemment avec les deux premiers cités.

Nada, schnoll, broquette, rien !

Ce qui est vrai, c'est que je ne dépasse que très rarement le régime à 75% de puissance (sauf brièvement au décollage) et que je respecte scrupuleusement les consignes de maintenance préventives éditées par le constructeur de divers moteurs.

Bons vols,
Luciano
Bonjour Luciano et chacun,

Et bien voilà qui confirme ma façon de voir les choses en matière de fiabilité des moteurs modernes d'ULM d'aujourd'hui. Nul n'est à l'abri d'une panne en vol, en voiture en moto etc certes, mais bien entretenues comme des zincs certifiés sur la base de nos carnets moteurs et structures, nos machines doivent ou devraient connaître un taux de panne ou de risque de panne extrêmement faible rapportés aux heures...
Voilà qui devrait en rassurer plus d'un!
Nynjazen
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Archambold
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par Archambold »

Quand il y a eu l'épidémie des casses des roulements de tetes de bielle sur les 582 j'étais le premier à me moquer des concurrents qui " ne savaient pas faire " avec le 582 et puis nous y avons eu droit comme les autres notemment sur un pendulaire monoplace apres 30 h de vol,nous avons meme essayé le vilebrequin pirate que vendait Loravia : bilan : cassé apres 20 h,idem pour les Jabiru : un club ne jurait que par ce moteur : ils ont bien changé d'avis mais je connais aussi un Jabiru de 450 h sans problème.
Les BS, l'entretien Rotax et la puissance à 60% c'est un minimum,exécuter un encadrement à chaque vol c'est la sécurité.
bebe44
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par bebe44 »

Archambold a écrit : la puissance à 60% c'est un minimum,exécuter un encadrement à chaque vol c'est la sécurité.
Je suis en accord avec ce qui est dit et c'est ce que je pratique depuis peu (cette année en 39 ans de pilotage :oops: ) quant à la réduction complète des gaz verticale piste à chaque retour au terrain.
Mais la panne totale moteur ne prévient pas lorsque c'est de la casse mécanique non décelée (able :?: ) :o et là, l'entraînement préalable doit être très utile mais le facteur chance autant :roll:
Je suis de ceux qui pensent à la panne et qui la craignent, j'essaie de voler au mieux en terme de sécurité, hauteur et ménagement de la machine.
J'en ai vécu deux mais sans arrêt du moteur.
- la première après une exhibition (faute de jeunesse) où le moteur a ratatouillé mais est reparti
- la seconde par un givrage carbu en montée initiale avec un retour en contre QFU possible du fait d'un dégagement à 30°de l'axe de décollage exigé au départ par le contrôle :)
Volons sérieux
bb44
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gazaile100
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par gazaile100 »


La panne moteur en vol qui se termine bien porte un nom.



C'est :
Image
XK9 (FK9 Mk3 modifié train classique avec moteur VIJA 100cv, injection)
basé LFAD (Compiegne-Margny)
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Pimprenelle
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par Pimprenelle »

j'ai fait ma première casse en vol cet été....

à 10 km du terrain, en challenger... 2200 ft QFE.... un bruit... clac.... et le moteur qui s'emballe... le temps de comprendre ... 1 à 2 secondes à vue de nez... je réduit le moteur... j'attend environ 5 secondes, puis je coupe.... là, silence, mais j'entend l'hélice qui tourne derrière moi.... je tourne la tête (sur le challenger, on peut voir derrière en se tournant...) et je voies mon hélice libre.... j'ai compris tout de suite... dans ma tête, je me suis dit : "courroie réducteur cassée"...
- réflexion rapide... verticale village de Bouesse (36), km 10, 2200 ft, pas en local... je tourne la machine face au terrain... vitesse de finesse max : 85 km/h... taux de chute : 450 ft/min... le vent me ramène... 40 km/H de vent... je suis en local... annonce radio pour prévenir le cap10 qui est au dessus que je lui pique son axe de voltige, et le cap 10 qui va décoller que je pose en contre qfu sur la piste en herbe... je me pose... tout s'est bien passé...


en fait, c'était une des brides du pot d'échappement du 582 qui a cassé... en partant (moteur propulsif), elle a tapé dans l'hélice et arraché 10 centimètres sur une des pales... le déséquilibre a engendré l'arrachement de la courroie....

le plus interessant, c'est que dès que le moteur à coupé (une première pour moi, hormis en instruction... ), j'aurais cru que j'allais stresser.... et en fait, j'ai vraiment eu l'impression de me retrouver dans mon bon vieux WA22 (un planeur), dans lequel j'ai une p'tite centaine d'heures de vol... je me sentais bien, en sécurité... aucun stress.... je me suis dit... bon ben, on prend un champ près de la route, parce que c'est plus facile pour démonter (ouais, un planeur çà pèse lours, et franchement, là, j'avais vraiment l'impression d'être dans mon planeur...), et puis plus je me rapprochais du terrain, plus je savais que j'étais en local...

le pire, c'est que mon passager, Simon, un copain... filmait à ce moment là....

résultat en image :
Image

et en vidéo de l'attero...

Ce message a été copié et installé ailleurs.
Merci de continuer cette conversation là-bas : http://www.forum-ulm-ela-lsa.net/viewto ... 117&t=3148
Merci à Pimprenelle pour ce témoignage. Il méritait d'être mieux mis en valeur dans un sujet spécifique.
Admin.
Live to Fly , Fly to live !!
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PapaMike
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Re: Non-certification, et peur au ventre de la panne

Message par PapaMike »

Pimprenelle a écrit :le plus interessant, c'est que dès que le moteur à coupé (une première pour moi, hormis en instruction... ), j'aurais cru que j'allais stresser.... et en fait, j'ai vraiment eu l'impression de me retrouver dans mon bon vieux WA22 (un planeur)
Lorsque le moteur est arrêté et l'hélice calée, l'absence de vibration et de turbulence rend le vol très agréable et la machine précise 8-)
C'est toujours ça de pris quand il faut gérer la descente et la vache :D


Ce message et le précédent ont été copiés et installés ailleurs.
Merci de continuer cette conversation là-bas : http://www.forum-ulm-ela-lsa.net/viewto ... 117&t=3148
Merci à Pimprenelle pour ce témoignage. Il méritait d'être mieux mis en valeur dans un sujet spécifique.
Admin.

Je ne suis ni mécano ni ingénieur. Il n'est question ici que de partager ma petite expérience avec d'autres membres du forum afin de s'entraider, ou tout simplement de discuter entre pilotes et passionnés de l'air. A bon entendeur.


PapaMike est décédé le dimanche 21 octobre 2012.
Ce n'est pas une formule de circonstance que de dire qu'il sera réellement regretté par beaucoup.
Sujet qui a annoncé cette information malheureuse, ici : PapaMike et Sonia, triste nouvelle
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